Quand ta douleur reste enfermée dans des souvenirs difficiles, tu ne peux rien y faire, et la douleur s’aggrave, se manifestant de manières inutiles ou inattendues (comme la colère).
Imagine-toi à un moment où tu souffrais, sans personne pour t’aider. Pense à comment tu aurais voulu qu’on te parle à ce moment-là. Qu’est-ce que tu avais besoin d’entendre? Quel soutien souhaites-tu encore, à ce jour, avoir reçu à ce moment?
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Te connecter avec ton enfant intérieur (ou une version imaginée de ton toi plus jeune) peut t’aider à résoudre l’auto-critique, le syndrome de l’imposteur causé par la marginalisation, et les croyances négatives sur toi-même issues de relations problématiques.
Écrire une lettre à ton enfant intérieur t’aide à explorer des sentiments, des émotions et des croyances sur toi-même non résolus de ton passé. Quand tu écris une lettre à ton enfant intérieur, tu utilises ton corps d’adulte actuel pour réconforter la partie de toi qui se sentait impuissante étant enfant.
Cet exercice de rédaction de lettre t’aide à traiter et à faire le deuil d’événements difficiles du passé. Il t’aide à te rappeler que, même si tu te sentais impuissant à l’époque, tu es maintenant dans un corps d’adulte capable de te défendre et d’honorer tes besoins.
«Oui, y’a vraiment un p’tit bonhomme en toi pis il a besoin de ton aide… C’est sûr qu’il va arriver des traumas dans l’enfance de n’importe quel gars normal. Peut-être c’est un parent qui est pas là, peut-être un intimidateur ou un coach avec une méchante streak.» Tout ça se stocke avec ton enfant intérieur, partage l’écrivain et coach de vie Sean Hotchkiss.
«Si t’as des besoins émotionnels de ton enfance qui ont pas été comblés, une façon de les satisfaire maintenant c’est d’écrire une lettre à ton enfant intérieur en lui disant tout ce qu’il a besoin d’entendre. Cette activité peut t’aider à te #reconnecter avec ton #enfant intérieur et te rappeler la qualité émotionnelle d’être un enfant.» – @open071
«J’ai écrit une lettre à mon enfant intérieur et c’était tellement apaisant et révolutionnaire.» – @Themagicmuir
«Tenir un journal m’a appris à être témoin de moi-même – à valider que je suis né innocent – injustement privé du droit de naissance d’un enfant à être aimé. Sans faute de ma part, j’ai tiré le joker dans le jeu de l’éducation. Tenir un journal m’a aidé à pleurer cette perte terrible… En évoluant continuellement ma capacité à me nourrir, m’aimer et me protéger moi-même et mes différents moi enfantins, je ressens habituellement un sentiment de sécurité et d’appartenance dans le monde.» – le thérapeute Pete Walker, MA sur le pouvoir d’écrire à son enfant intérieur
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